jeudi 13 novembre 2008

2-07 ET SI ON SE VOYAIT ?

La rencontre FRN, jusqu'à présent je n'ai jamais pu y assister. Généralement organisée au mois de septembre, une période où il m'est difficile de m'absenter de Bergerac. Et puis je ne crois pas que j'étais tout à fait prêt à vivre cet évènement. Il m'est arrivé de rencontrer des personnes avec qui j'avais communiqué par mail ou par courrier et lors de la rencontre physique m'apercevoir que nous étions bien éloignés l'un de l'autre.

Mais après trois ans de bons et loyaux services au sein de cette ligue, et après avoir reçu les encouragements et les aides de certains, cette fois-ci, il me tardait de rencontrer mon Roro de préparateur, le Brissouille d'organisateur, le Pat à l'humour destructeur, le rigoureux Ced, etc. Cette fois-ci, organisée le 1er novembre, il m'est donc possible d'y aller et il me tardait d'être à cette rencontre.

Et tout commence le vendredi soir. Ced de Toulouse rejoint Stéphane à Marmande et ensemble, viennent me rejoindre chez moi. Et ils se font attendre les bougres. Qu'à cela ne tienne, une petite vidéo "Le Mans" avec Steve Mc Queen, histoire de patienter et de me mettre dans l'ambiance. Puis enfin, juste après le départ, au Mans, les voilà qu'ils débarquent. On charge les bagages dans le wagon-automobile qu'est ma Volvo et qui a essuyé bien des railleries sur le forum, et nous voilà partis.C'est chez Pascal à Libourne que nous nous retrouvons avec Sébastien. Il ne manque plus que Laurent Fialip pour que la communauté du Sud-Ouest soit au complet, mais il ne sera pas des nôtres pour cette rencontre. Reçu plus que chaleureusement chez le Roussel, au coin d'un feu de cheminée, l'apéro est servi.
L'apéro chez Pascal, un moment crucial.
Ainsi nous faisons plus ample connaissance. Pour ma part il n'y avait que Cédric Lungeri que je ne connaissais pas. Le bonhomme est à l'image que je me faisais de lui, rigoureux et cool tout à la fois. On a parlé piste, moteur, trajectoire, moto aussi, car Pascal vient de faire l'acquisition d'une magnifique Triumph Bonneville. Corinne, maîtresse des lieux.
Mais aussi bouffe, pinard autour de la table bien garnie, que nous avaient préparé Pascal et Corinne. On ne sait pas couché tôt, mais en revanche on s'est levé tôt, très tôt : 4 h 30, presque au son du clairon et bien avant le coq.

Le start pour Pascal, pas d'ammorce de spin, pas de frottage de muret et un pit réussi.
5 h du mat, on embarque dans la tuture, Pascal prend le volant et hop, direction la capitale à la rencontre des fous du volant.
Une véritable expédition
Pit stop

Sans carte et sans GPS, celui de Seb nous lâche à 20 km de l'arrivée, on ne sent sort pas trop mal en arrivant à la pizzeria planquée dans une de ces zones industrielles où toutes les rues se ressemblent. Et nous voilà tous à table à nous dévisager, à essayer de deviner qui est qui. Parfois la surprise est grande, pour ma part je fus étonné par Brice et Marco, leurs caractères sont à l'inverse de ce que j'imaginais.
Jonathan Berthier me surpris par son physique, je l'imaginais grand, un poil grande gueule ou Fabien Viaud que je supposais déluré et bavard. Curieux comme notre esprit associe des images aux écrits.
De gauche à droite, Sébastien Touzalin et Christophe Boeur alias Dédé.
Cédric Le Comte et Stéphane Boisserie
Patrick Corbin et Sébastien Touzalin.
Cédric Lungeri.
Mon big boss, Cédric Le Comte, patron de la RCM.
Jonathan n'est pas grand, parle doucement et de manière réfléchie quant à Fabien il fait plutôt penser à un étudiant toujours perdu dans ses pensées, en tout cas loin de ce que j'avais supposé.

Le repas est une première approche, mais les choses se décantent vraiment arrivé sur la piste de karting. Car Pat nous a concocté une petite partie de roulage réel, sur une vraie piste avec de vrais volants et de vrais moteurs. Malgré une piste mouillée, nous nous sommes régalés. Que du bonheur.


Ronan Taugeron ici, totalement dans son élément.
Brice Rouffet : "Ne pas freiner et accélérer en même temps... J'vais jamais y arriver".
Il ma servi de ghost, pendant un tier de tour, le Stéphane.
Cyril Nousbaum, le plus jeune d'entre nous (15 ans) et Jonathan Berthier.
On va encore être en retard pour l'apéro, pffffffffff.
Nous venons de vivre un truc en commun, ce qui délie les langues et aide à faire connaissance. C'est ainsi que nous débarquons en début de soirée chez Patrick Corbin pour finir la soirée, qui cette fois prend un accent nettement Nascarien.

Cette charmante maison va se transformer en temple de la NASCAR, envahie par des extrémistes aux cultes étranges.
Au milieu de miniatures de voitures, de blousons aux efigies des teams, des tee-shirts siglés des pilotes de NASCAR, des images défilant sur l'écran de télé, il y a trois femmes, un peu perdues dans cette soirée qui n'est pas vraiment la leur. Eva Corbin, qui nous accueille dans sa demeure et fait en sorte que nous ne manquions de rien, même pas de Doliprane. Mme Doulcet, dont je me souviens plus le prénom, qu'elle veuille bien me pardonner, qui observe tout ce petit monde étrange, tous ces bons hommes qui ne pensent qu'à jouer, comme au plus belles heures de leur enfance. Et madame Samantha Rouffet, Sam pour les intimes, qui est aussi remuante que son cher et tendre mari et qui a des goûts très particuliers à savoir, elle adore tous ce qui n'a aucun rapport avec la NASCAR, ce n'est pas peu dire. Très vite, je me rends compte que je suis au beau milieu d'une bande de joyeux lurons, heureux de se retrouver ou de se trouver tout court. Une bande de passionnés impatients d'échanger, de recevoir, de donner.

D'un côté la bassine de Sangria, de l'autre, notre ami Arnaud, d'Us-racing, le site qui relate toute l'info des sports mécaniques d'outre Atlantique, qui va transformer en quelques instants l'immense table prête à recevoir les couverts pour le repas du soir, en un étalage digne du meilleur souk d'Afirque du nord.
Arnaud d'US Racing "Chti vend, pas cher".
En un rien de temps celle-ci est recouverte d'une multitude de produits dérivés du championnat américain. Des miniatures de toutes tailles et de finition exemplaire. Des tee-shirts, des blousons, des sweets, des casquettes, des porte-clefs, des mugs, des livres, backshish mon ami, backshish. Et c'est fou l'effervescence que ça provoque, on se serait cru aux premiers jours des soldes. Nos trois dames regardent d'un air amusé, ces hommes déplier et essayer avec fébrilité ces vêtements hauts en couleurs.
Marc Doulcet et Jon qui fait son marché.
L'est pas en solde celui-là, Cédric...
Eric Géron, notre cousin belge : "Non mais, ya pas ma taille ? Une fois..."
Oh la la, toutes ces p'tites voitures pour faire mumuse...
Samantha Rouffet : "Bon, ça c'est moche, ça c'est pas terrible, ça j'm'en fous..."
Puis elles semblent en avoir assez et sonnent le glas du petit commerce d'Arnaud : "On met la table !" Elle celle-ci retrouve très vite sa fonction première.
Et ce fut la remise des prix avant d'entamer le repas. Simple cette saison, 3 championnats, 2 primés, Cédric Le Comte pour le championnat Iroc, et Cédric Lungeri pour le championnat Truck et le championnat Cup. L'année des Cédric en somme.
La soirée bat son plein, entre les railleries des dames, enfin d'une surtout. Les blagues des hommes, les commentaires sur le déroulement du championnat NASCAR, les descriptions des derniers faits de courses virtuelles. On rit, on se moque, on mange, on boit, d'ailleurs ceux du Sud-Ouest ont fait bonne figure et se sont montrés dignes de réputation de la région avec foie gras et Bordeaux, merci Pascal, plus un cubitainer de Pécharment, un petit cru digne des grands de Bergerac qui traînait dans le fond de mon coffre. Entre le fromage et le dessert, Pat nous invite à aller voir son cockpit. A l'image du bonhomme le baquet "of" course. Il a oeuvré dans le dessin industriel notre Patric Corbin, donc son ordinateur est aussi son outil de travail et il trône sur son ancienne table à dessin. Du coup son siège est aussi un siège de table à dessin, ce qui confère au tout, une fois que le volant est fixé au bord de la table, une position quasi identique à n'importe quel conducteur de poids lourd. On est loin de mon Playseat ou des autres postes de pilotage que je vous ai déjà présenté sur ce blog. Et encore, il paraît que c'est nettement moins pire que cela n'a été.

Chauffeur routier

Les filles nous rappellent à l'ordre, et on revient à table pour le dessert et le café. Pendant ce temps, Jonathan a lancé l'installation de son jeu dont il est l'un des beta-testeurs et qui fut aussi le sujet de bien des polémiques sur le forum, c'est-à-dire l'iRacing. Tout de suite après le café, nous ne tardons pas à revenir devant le grand-grand écran de Pat pour découvrir la soit-disante fabuleuse simulation développée par Dave Keammer et son équipe auteurs de Grand Prix Legend, Indycar et aussi de notre bon vieux Nascar Racing 2003. iRacing est basé sur un concept totalement innovant architecturé uniquement autour d'Internet, inutile donc d'espérer pouvoir piloter sans une connection haut débit.
Le Truck à Phoenix, vu par iRacing
iRacing propose un service de simulation qui consiste à la mise à disposition du métériel, des infrastructures virtuelles permettant de participer à des compétitions. Mais évidemment tout se paye, au prix fort au goût de certain. On se retrouve ainsi comme un pilote qui paye pour courir, en contre partie on a l'assurance, dit-on, d'avoir un soft en perpétuelle évolution avec la garantie de bénéficier immédiatement des moindres améliorations.

Le stock de Pat, toute une vie de simracer.

Un principe qui va à l'inverse des éditeurs de jeux vidéos qui se contentent de vendre un produit qui se retrouve très vite piraté obligeant l'éditeur et distributeur à faire leur chiffre dans les premières semaines de la vente. Donc les concepteurs ne trouvent pas d'intérêt à améliorer le logiciel et à en prolonger la durée de vie, ce qui engendre des softs jamais vraiment terminés ou pire, un nouveau titre qui en chasse un autre. Avec iRacing on paye et l'on assure le développement du soft, à voir...

Revenons au poste de conduite de Pat et au téléchargment d'iRacing, qui s'est bien passé. Premiers tours de roues, et là, les plus fortes réticences tombent. Bien sûr le principe de payer, trop cher, pour certain reste un frein, mais à comparer à toute autre activité non virtuelle, est-ce vraiment si cher ? Reste à voir comment les choses vont évoluer et beaucoup vont se poster en observateur attentif. Mais mise à part cet aspect, iRacing est vraiment une simulation des plus aboutie. Qualité de l'image, réaction des bolides, renvois d'infos au volant et un bruit moteur fabuleux. Tout le monde est tombé sous le charme. On est tous d'accord pour dire que l'on n'a jamais ressenti de telles sensations avec une autre simulation.
Trois heures du matin, je tombe de sommeil et je trouve un coin pour m'allonger. Les fous du volant, Jonathan, Fabien, Ronan et d'autres sont restés scotchés à l'écran jusqu'à 7 h 30 du matin ! Sont fous ces jeunes. Mais au petit matin, à voir leurs yeux "explosés" et à écouter leurs commentaires, je souris et je les comprends, des fous, des passionnés, des gais lurons finalement.

Fabien Viaud, l'un des irréductibles noctambules.

Voici l'heure où ceux du Sud-Ouest doivent reprendre la route. Et, l'air de rien, on repousse de minute en minute le moment de se quitter. Nous voilà reparti pour Libourne, via le tour du Chateau de Versailles en prime. Sans cartes, sans GPS et dix ans d'absence en région parisienne, ça valait bien une petite erreur d'orientation. Les discutions animées et les longs silences somnolents ponctuent le voyage du retour. Ce soir-là, je me couche épuisé mais content avec ce sentiment nouveau de faire vraiment partie d'une communauté qui n'est plus virtuelle du tout. Longue vie à FRN.

lundi 10 novembre 2008

2-06 ENFIN UNE BONNE SERIE

29/10/2008 - Course 8 sur 36
Phoenix International Raceway
Subway Fresh Fit 250
15°, beau temps
Vent Nord-Est de 5 Kmh
156 tours = 156 Miles / 251,058 Km
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Situé aux pieds des montagnes de l'Estrella, à 8 km au sud de Phoenix, Arizona, la piste est construite en 1964, puis refaite en 1993. Elle accueille de nombreuses divisions. Un track relativement difficile à maîtrisé et qui a acquis la réputation d'être un des circuits majeur des USA.
Particularités: Piste relativement plate et rapide. La largeur de la piste (17 m en ligne droite et 21 m dans les virages) permet de voir 2 ou même 3 voitures de front de manière régulière. Les ajustements de chassis et des pneus y sont particulièrement importants.
À la veille de cette course, une polémique se fit jour sur le forum de notre ligue concernant le type de vue adoptée par chacun. La vue roof, ou dite capot et la vue cockpit. La grande majorité des pilotes roulent en vue cockpit, à la fois pour une meilleure maîtrise de l'auto et surtout par un souci d'être au plus prêt de la réalité. Ceux qui roulent en vue roof bénéficient d'une meilleure visibilité de l'ensemble de la piste au détriment d'une sensibilité moindre du relief de la piste et des réactions de l'auto. Les détracteurs de cette vue peu réaliste qu'est la roof (la vue des caméras de télévision), en font la cause d'attaques peu probables origines de certaines neutralisations. Et pourtant, le double champion en titre de notre ligue roule dans cette vue.
Pour ma part, je roule en vue cockpit, pour un meilleur ressenti de l'auto. Je ne me soucie guère de coller à la réalité, car la vue cockpit pour moi ne reflète pas vraiment la réalité. Pour avoir la véritable vue que peut avoir un pilote NASCAR, il faudrait avoir trois écrans. Mon seul souci est de maîtriser l'auto au mieux pour être le moins dangeureux pour les autres. Donc je roule dans cette vue sur la plupart des circuits sauf sur les superspeedways. Je me mets en vue roof également lors d'un déclenchement d'un drapeau jaune, par prévention et pour mieux anticiper en arrivant sur les lieux de l'incident. Je me mets également en roof en arrivant sur la voie des stands pour mieux repérer les marques au sol de mon stand. Je ne me doutais pas, au départ de cette épreuve, que j'allais vivre deux incidents de course que j'aurai sans doute pu éviter si j'avais étais en vue roof.
Phoenix est un circuit que j'apprécie, comme la plupart des pistes plates, sauf peut-être le New Hampshire. J'aime les circuits relativement courts, Martinsville, Bristol, Richmond, Dover et le très particulier Darlington. C'est donc avec impatience que je m'aligne au départ de cette course, avec l'ambition d'arriver au bout de la course et de ne pas provoquer de neutralisation. Pourtant, peut après le départ, je constate que mon volant a de nouveau bogué. Tous les boutons deviennent inactifs, je ne peux donc plus activer le Game Commander qui me permet de contrôler tous les messages que je peux envoyer aux autres concurrents, ainsi que les messages à envoyer à mes mécanos. Ni même Teamspeak qui nous permet de communiquer entre coéquipier. Je les entends, mais je ne peux leur répondre.
Le départ est donné et les tours commencent à s'enchaîner à un rythme fou. Premier ravitaillement sous drapeau vert, mais je fais un excès de vitesse en sortant des stands, ce qui m'oblige à repasser par la pitlane sans m'arrêter. Je perds donc un tour sur mes concurrents et je n'ai plus que l'espoir d'un drapeau jaune assez rapidement pour être remis dans le tour des leaders. Malheureusement ils viendront beaucoup trop tard, je ne bénéficierai pas du "lucky dog".
Au 50e tour, en sortie du turn 2, je serre Sébastien Touzalin en le dépassant. Au 80e tour je réédite la bévue avec Marc Doulcet alors que cette fois-ci, il me semblait avoir laissé suffisamment de place. En revisualisant le replay, je crois pouvoir incriminer l'étroitesse de la vue cockpit. Voici la même action, juste avant que l'on se frotte les portières, la première photo illustre ce que je vois en pilotant et la seconde, ce que j'aurai pu voir en vue roof.
Au bout de la flèche rouge le bout du capot de Marco qui pointe
La même situation en vue roof
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Toutes ces anicroches me vaudront des avertissements et je conserve mes probations. A la faveur d'un dernier restart et d'un départ canon d'Eric Géron qui, après mettre blotti sans son sillage, me permet de doubler Marc Doulcet qui est dixième, je termine cette course en inscrivant un nouveau top 10.
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Les résultats de la course : cliquez ici.
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STATS
Nbre de courses = 8
Participations = 5
Abandons = 3
Top 10 = 2
Top 5 = 0
Moyenne du Nbre de participants = 17,4
Moyenne de ma position à l'arrivée = 14
Position au championnat = 18 (+2)
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4/11/2008 - Course 9 sur 36
Talladega Superspeedway
Aaron's 250
27°, beau temps
Vent Nord de 14,5 Kmh
94 tours = 250,04 miles / 402,25 Km
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Située 65 km à l'Est de Birningham et 140 km à l'Ouest d'Atlanta, cette piste d'Alabama fut construite en 1969 par Bill France Sr. comme la plus grande et la plus rapide au monde. Elle détient encore ce record, avec ses énormes virages hauts de 4 étages inclinés à 33° et ses lignes droites de 1200 mètres. Coté spectacle, ses gradins peuvent accueillir 108.000 personnes et une nouvelle tour en contient 22.000 autres. Appelée à l'origine "Alabama International Motor Speedway", elle est maintenant connue sous le nom de Talladega Superspeedway.
Particularités: Piste ultra-rapide semblable à Daytona. Des courses à quatre voitures de front y sont possibles grace à sa piste de 15 mètres de large complétée par une piste d'accès de 4 mètres. L'effet d'aspiration et la patience jouent un grand rôle à Talladega, car les vitesses élevées impliquent une plus grande consommation pour une voiture isolée. De plus, l'usage de la plaque de restriction rend les voitures quasi-identiques en termes de puissance brute et ne donne aux pilotes que très peu de réserve pour doubler.
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Talladega, le circuit le plus impressionnant des Etats-Unis, un super superspeedway. Une course des plus particulière puisqu'elle se déroule après la rencontre FRN à Paris, où je me suis rendu. Maintenant, je sais mettre un visage et un caractère derrière ces voitures, derrière ces numéros. Notamment Marc Doulcet, Marco le N°° 22, avec qui j'ai eu l'incident à Phoenix, ou Fabien Viaud, ou encore Jonathan Berthier. Mais je reviendrai sur ce week-end parisien dans un autre billet de ce blog.
Talladega, le royaume du draft. Bien que j'ai horreur de ces courses toujours trop aléatoires, je me débrouille généralement assez bien sur ces pistes, mais généralement, je me retrouve impliqué dans un crash. Cette édition ne fera pas exception, Fabien Viaud vient me pousser dans un virage et cela déclenche immédiatement un carambolage monstre, le fameux "big one". Fort heureusement je n'aurai pas trop de dégât et je pourrai continuer ma course. Pendant deux relais, j'ai pu rouler en draft avec Marc et j'y ai pris un grand plaisir, connaissant à présent le pilote qui se cache dans la N° 22.
Une nouvelle fois je ralie l'arrivée à la 10e place, mais cette fois nous étions 20 au départ, j'ai donc atteinds ce seuil fatidique d'arriver au moins à la moitié des participants.
La semaine prochaine c'est une semaine "off". Il n'y aura pas de course car nous serons le 11 novembre. Je vais profiter de cette semaine sans compétition pour aménager mon cockpit afin d'y installer les deux autres écrans et le boîtier matrox qui les gérera. Si la configuration de mon PC le supporte, j'aurai enfin une vue réaliste de la piste et je l'espère qui ne sera que bénéfique à mon pilotage.
Les résultats de la course : cliquez ici.
Le classement au championnat : cliquez ici.
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STATS
Nbre de courses = 9
Participations = 6
Abandons = 3
Top 10 = 3
Top 5 = 0
Moyenne du Nbre de participants = 17,8
Moyenne de ma position à l'arrivée = 13,3
Position au championnat = 18 (-)